Voilà ce que j'ai découvert hier dans le journal Direct Matin! |
Quel joie de découvrir cela, voir que l'on prend de l'importance à ce que les ancêtres ont bâti. Certains diront (ils n'ont pas tort d'ailleurs) que tous ces millions auraient dû être dépensé pour aider les personnes en difficulté. Mais on ne peut nier ce travail formidable qu'ont accompli ces hommes, bref un temple historique à nouveau parmi les autres œuvres du Cambodge. Je vous invite à lire l'article du site Lemonde.fr qui relate le sujet : Cliquez!
Info tirée du site Courrier-picard.fr publiée le Dimanche 03 Juillet 2011 :
Le Premier ministre français et le roi du Cambodge Norodom Sihamoni lors de la cérémonie pour la rénovation du temple-montagne de Baphuon.
Fillon et le roi du Cambodge célèbrent la rénovation du temple de Baphuon
[Le Premier ministre François Fillon et le roi du Cambodge Norodom Sihamoni ont célébré dimanche avec faste la rénovation du temple-montagne de Baphuon, un chantier "titanesque" de plusieurs décennies, sur le site d'Angkor (nord).
"Le chantier du Baphuon a été exceptionnel, par sa difficulté, par l'originalité des méthodes développées. (...) Ce fut l'un des plus importants projets de restauration monumentale au monde", a déclaré M. Fillon, après avoir reçu un accueil chaleureux de la part de milliers de spectateurs, drapeaux cambodgiens, français et européens à la main.
"Longtemps retenu dans le sommeil de la jungle", le Baphuon "va redevenir au grand jour l'un des emblèmes d'Angkor", site classé au patrimoine mondial de l'Unesco, a-t-il ajouté.
Le roi Sihamoni a exprimé, en français, "au nom du peuple cambodgien, la profonde gratitude à la France" pour la rénovation de ce "valeureux héritage de la culture khmère". C'est un "symbole de paix, de solidarité et d'amitié entre les peuples", a-t-il ajouté. Le temple avait été démonté dans les années 1960 pour empêcher qu'il ne continue de s'effondrer. Mais la rénovation avait été interrompue par la guerre civile, au début des années 1970, et les plans du remontage des 300.000 blocs de grès détruit sous le régime des Khmers rouges. Les travaux avaient pu reprendre dans les années 1990 sous la houlette de l'Ecole française d'extrême-orient (Efeo), la France prenant en charge le financement, à hauteur de 10 millions d'euros. La rénovation avait été achevée en avril.
SIEM REAP (Cambodge) (AFP)]
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